jeudi 18 septembre 2014

Une friture... mon royaume pour une friture !

Salut,
Mon vieux pote Lolo le barbu m'a donné une bonne idée : je vais mettre des photos des autres sur mon blogue. Euh... je veux dire des photos que "des autres" ont prises et non pas des photos des autres que j'ai prises. Ah, le franssais cé vrèment pa fasile.
Bon, ben je commence avec une photo que j'ai prise de photos prises par quelqu'un d'autre... hein? c'est quoi ce bordel?
Des jolies perches prises par mon tonton de Decize, charmante petite bourgade perdue au milieu de la Loire, et qui ont dû faire une excellente friture (sauf celle au chapeau j'imagine) que j'aurai bien aimé me mettre sous la dent. Une autre fois peut-être !

jeudi 11 septembre 2014

Cocorico !!!!

Voilà quelques photos de mon coq posant fièrement sur le rebord du bassin pour impressionner ses courtisanes !

La pauvre bestiole a bien failli ne pas poser pour la postérité car il est passé à deux doigts d’être occis. Il y a trois jours, alors que j'allais allumer un feu de jardin, il lui est venue l’idée de s'en prendre à moi une fois de plus. Je me dois de vous expliquer que ce coq n'est pas des plus fins et est même carrément c*# ! Il terrorise Patty qui n'ose plus aller dans le jardin sans être armée d'un bâton et Radjah ne mettra pas la patte dehors s'il voit l'emplumé dans les parages... Ah je vous jure...
Donc, le coq s'en prend à moi mais malheureusement pour lui, sur le tas d'herbes et de bois auquel j'allais mettre le feu, trainait une vieille branche dont je me suis saisi pour lui en assener un coup. Et Vlan ! Mais j'ai pas bien bien calculé mon coup (je voulais le frapper au flanc) et il s'est pris la branche en pleine tête. On aurait dit un boxeur frappé au visage par son adversaire. Il a titubé pendant quelques secondes, ses pattes flanchant sous son poids et sa tête penchée sur le côté. Puis il s'est mis à courir en tombant toutes les trois enjambées et en criant comme un fou. A ce moment, j'ai eu un remord terrible pensant l'avoir tué. L'angoisse n'a fait que s'accroitre quand je l'ai vu aller se coucher dans l'herbe, le bec piqué en terre et la crête en sang. Cela a duré presque deux heures. Le soir est arrivé et il est rentré au bercail tant bien que mal et j'ai passé la nuit à me promettre de ne plus jamais toucher celui que la veille j'appelais "Cocovin", car je le voyais vraiment finir dans la casserole ! C'est à l'aube venue que j'ai pu enfin me reposer en l'entendant chanter de toutes ses forces. Depuis, il est complètement redevenu lui-même mais m’évite quand même de loin.
 Ah le beau coq gaulois que voilà ! La patte fièrement posée sur son cailloux.
Quelle allure ! Il a la démarche d'une star de cinéma.
Alors poulette ? Tu fais quoi ce soir ?

Bon c'est pas tout, mais on doit continuer de picorer.